Censure de FREE et… à la santé des fiottes !

Bonjour tout le monde, c’est Marcel! Alors d’abord je vous informe que FREE.FR, le fournisseur internet dont les patrons aiment turluter Macron, bloque les mails que nous envoyons à leurs abonnés en filtrant le contenu. De la pure censure donc, le message de rejet etant « mail is refused, spam detected »! S’ils détectent du prétendu spam c’est bien qu’ils lisent le contenu.

Mais quand on connait la fine équipe de FREE ce n’est pas étonnant. Je vous ai parlé déjà de Niel, copain de partouzes homos de l’usurpateur de l’Elysée, mais il y a aussi et surtout François Pétillon qui est responsable du service mail. C’est lui qui décide quel mail accepter et quel mail bloquer sous prétexte de « spam ». Pétillon c’est un pur étron gauchiste, mes petits. Un vrai de vrai, il censure chez FREE depuis plus de 20 ans, un vrai stakhanoviste de la censure !

Alors chers lecteurs de FREE, un conseil, quittez cette boite qui vous prend votre fric pour vous censurer !

Venons-en au sujet du jour, figurez-vous qu’hier dimanche 3 pandores sont venus au Village, au Bistrot bien entendu ! Quand le Louis les a vu entrer il a sorti le litron de rouge, les 3 képis consomment en effet autant de pinard que leur bagnole de l’essence ! Mais cette fois le gradé (on l’appelle « le nabot minable » pour célébrer son mètre 40 et sa tête à claques) a pris son air le plus con pour déclarer « on a reçu une plainte, un couple a été mal reçu ici, ils parlent d’injures racistes ».

Le silence s’est fait de suite. Injures racistes? Au Bistrot? Pas possible, on aime tout le monde, porcs, poules, vaches, et même les paysans! Et le nabot minable de continuer, parait-il que 2 parisiens se sont arrêtés pour casser la croûte et ont été la cible de quolibets « tiens des folles », ou « vla que la gaypride débarque » et autres trucs comme ça.

J’ai décidé d’intervenir, n’en étant qu’à mon 3-ème apéro, c’était que midi ça excuse! Et j’ai pris mon air le plus hautain pour dire « vous parliez d’un couple, mais c’était donc 2 fiottes, et ces choses là n’ont rien à faire chez nous. »

J’ai cru que le Nabot minable allait tomber de ses 1m40. Et un de ses complices, un petit nouveau, a mis la main sur son arme en disant « hooo »! Du coin de l’oeil j’ai vu le Louis passer la main sous le comptoir où il planque le 12. Toujours chargé, le 12. Un juxtaposé qui ne demande qu’à servir.

Trois consommateurs un peu émêchés (à midi vous vous rendez compte) ont rigolé en disant « vla qu’on va s’amuser un peu, ça va tâcher le parquet ». Le Nabot a senti le coup et en bon pandore courageux a commencé à s’excuser « je ne voulais pas vous fâcher messieurs, mais en France l’homophobie est un délit ».

Là j’ai commencé à m’énerver « moi j suis pas homophobe mon brave, j’adore les pédoques car plus il y en a et plus il y aura de place pour nous les gens normaux pour rendre hommage aux Dames. Vous êtes marié, vous, d’ailleurs? »

J’ai cru qu’il allait s’étouffer, il est devenu plus rouge que le pif d’Antoine, a bégayé quelque chose d’incompréhensible en terminant « on vous laisse » et tous sont sortis en surveillant leurs arrières des fois que… Mais pas de risque, pas de pédale chez nous, ils peuvent nous tourner le dos sans risque.

Le Louis a offert une tournée générale « à la sante des fiottes » ! Et j’ai proposé que pour éviter ce genre de choses à l’avenir on mette une affichette sur la porte « Interdit aux folles » avec un beau drapeau LGBT ! Qu’est ce que j’en ai, des bonnes idées !

A la revoyure…. et à la santé des fiottes !

Marcel Berrichon

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