Bonjour tout le monde, c’est Marcel ! Alors ce matin je suis en colère à cause d’une histoire de jambon de Bayonne ! Rassurez-vous, j’adore ce jambon mais je suis tombé sur un article qui montre que décidement il y a en France une cohorte de nuisibles, de mal embouchés voire de mal baisés qui crache sur nos traditions !
Ici on apprend qu’un « groupe féministe » nomme « Itaia » a perturbé la foire au jambon de Bayonne et quelques gouinasses ont dénoncé un « contexte de fête (qui) ne fait qu’amplifier la violence machiste » déjà observable au quotidien.
Alors carrément ces mal baisées sont contre ces fêtes populaires où le jambon est à l’honneur. Le jambon c’est le cochon, le cochon c’est les non musulmans. Moi je me demande pourquoi ces furies en chaleur ne vont pas semer la pagaille dans les fêtes musulmanes, ce serait bien naturel, on connait la place de la femme dans les sociétés musulmanes : à la cuisine et sous la couette ! Tout ça avec de bonnes trempes pour montrer qui est le maitre !
اذهبي لتحضير الحساء أيتها العاهرة!
Moi ça me rappelle la Sardine Rousseau, la foldingue des « hommes déconstruits » qui appellait à interdire les barbecues ! Eh bien toutes ces malades devraient être enfermées et nourries uniquement de bidoche ! De porc, pour leur montrer qu’on est chez nous !
Attention, j’ai rien contre le boeuf, mon standard de côte de boeuf c’est d’ailleurs 400 grammes minimum, bien saignante ! Faut s’entretenir non ? Alors, ça ne vous dit pas, à vous ?
Tout ça pour dire qu’il ne faut pas laisser faire ceux et celles (oui je mets le masculin en premier, nous SOMMES dans une société machiste et patriarcale, nous sommes en France, quoi ! Donc faut pas laisser faire ceux et celles qui veulent détruire nos traditions à cause de leurs déficiences mentales ! Je propose qu’on les exile dans un coin perdu sans nourriture et on verra au bout de combien de temps ils se boufferont entre eux. Au sens propre !
J’exagère, j’entends déjà quelques grincheux ! Mais y’en a marre, les amis ! Bon ma douce Germaine me chuchotte qu’elle a préparé un bon plat de travers de porc pour le déjeuner ! Elle sait comment me calmer !
A la revoyure !
Marcel Berrichon
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Salut Marcel,moi c’est Christian.
Merci a vous d’être un francais qui aime la France.
Nous Français faisons vivre nos traditions.
Marcel que dire de plus RIEN j’adore le jambon de Bayonne et toute la cochonnaille et la cote de beuf.
Moi le porc,j’adore……!
Il y en a même dans les cosmétiques… a bon entendeur salut.
Et dans les médocs,y en a ??????
…et aussi dans la fabrication de tous les bonbons. À bon entendeur salut !!
Certainement pas dans les antidépresseurs !!!
Bonjour Marcel, j’adore tes articles. Me donnerais tu les réferences de ton « pinard » à coté de la cote de boeuf ? merci d’avance
Un secret, une cuvée spéciale au nom prédestiné !
Bonjour Marcel, cela fait beaucoup de bien, penser Français, écrire Français et surtout avoir le courage de dire toutes ces vérités avec les mots qui conviennent (notre FRANCE).
Si on laisse faire tous les dégénérés qui sont en France, et il n’en manque pas (voir déjà les politicards) ; on n’est pas sortis de l’auberge ; ceci dit ; s’ils n’aiment pas tel ou tel plat ; ils ne sont pas obligés d’en manger ; mais ils ne sont pas obligés non plus d’emmerder tout le monde !
J’aurais appris que « Va faire la soupe, salope » se dit « اذهبي لتحضير الحساء أيتها العاهرة! » en arabe ! Excellent, Marcel 🙂
J’ai vérifié : Va faire de la soupe, espèce de garce. (Google traduction)
Boudiou ! ça m’a donné faim tout ça !
Bonjour Marcel, juste une petite remarque. Pas la peine de rajouter « celles » à « ceux » ni devant ni derrière car en français de chez nous dans « ceux » il y a déjà « celles ».
Le masculin est souvent neutre et comprend le féminin…
Donc ceux qui ajoutent « celles » à « ceux » nomment en fait 2 fois les femmes, ce qui est parfaitement discriminant pour les hommes, non ?
Oh bravo , bien vu !
C’est peut-être le but non , il faut détruire le patriarcat blanc , ne l’oublions pas ?!
En attendant , on a déjà quasiment détruit la langue française .
Liquidation totale rien ne doit rester ni échapper à la médiocrité crasse de nos idéologies malsaines contemporaines .
Les Taia et autres drôlesses , il faut les pendre en même temps que les écolos .
Bonjour de Belgique…..j’adooooore tous vos articles….
Me draguez pas, Germaine veille !
Bonjour Marcel. Ah voilà une fête qui est parfaitement dans mes critères alimentaires, le bœuf aussi, vous me direz ! Les drôlesses dehors et pis, c’est tout ! À la revoyure Marcel !
J’aime la chasse au gros gibier. Attention pas les grosses dont parle P.C. dans sa rubrique quotidienne. mais la chasse au gros. Les amateurs me comprendront. Et les soirs de chasse, après le partage de bons morceaux, il y a le gueuleton bien arrosé. Les chansons paillardes, et les clins d’œil aux filles ( les pas grosses de préférence). Pas rare qu’il y ait un concours d’histoires drôles. Puis on rentre avec pleins de bons souvenirs. Vive le bon vivre et à la prochaine, Marcel !
Pour le coin perdu, y’a qu’à demandé à M’sieur Wauqier ! Y connait un petit territoire pas piqué des hannetons à 4 000 et des broquilles de kilomètres, où effectivement elles seront bien contentes de trouver du jambon, ou du cochon, faut voir ! Bien que si c’est vraiment de la gouin*sse au cochon herbivore elles préfèreront sans nul doute de l’herbivore brouteur…
Bonjour, je n’ai pas trouvé sur internet une quelconque adresse pour acheter du vin rouge « La Résistance » l’étiquette est visible sur la bouteille à côté de la côte de boeuf. Adresse possible pour acheter ce vin rouge ?
Chez Marcel seulement !
étant a 80% Auvergnat et a 20% vendéen je ne peux qu’applaudir et découvrant ce site je tombe déjà en amour de ce phrasé qui fleure bon le terroir, bravo et longue vie a vous.
VIVE LE PATRIARCAT !
Rien de plus éclatant sous le ciel des mâles triomphants et des femelles bien élevées, dociles et heureuses de l’être, que le modèle patriarcal.
Je ne remets pas en cause cet ordre établi qui a fait ses preuves en lettres d’or dans l’Histoire humaine. Le socle des sociétés masculines est un granit supportant une montagne d’inébranlables certitudes millénaires. Et son sommet est un azur de stéréotypes phallocrates où s’envolent dans la joie les féminins volatiles ayant offert leurs plumes à leur seigneur couronné de virilité…
Mars est de feu, Vénus est de lumière. Entre les deux, c’est l’alliance féconde et harmonieuse de la force et de l’obéissance, du loup et de l’agnelle, de l’épine et de la fleur.
Dans le saint foyer où des choses considérables s’opèrent, loin des mensonges du siècle et des mirages du monde, les natures s’ajustent en douceur et les âmes s’accordent sans heurt. C’est là que les sorts se scellent réellement. Et la soumission de la cuisinière au guerrier devient un pacte sacré. La mère donne l’exemple à la fille, le père montre au fils le chemin vers le Soleil et le patriarche fait appliquer ses sentences à tous.
Telle est la grande hiérarchie d’inspiration divine, l’autorité éternelle issue des lois cosmiques, le juste agencement des causes primordiales. Il en est des humains comme des astres : les uns brûlent pour que les autres soient éclairés, et tous brillent finalement. C’est cela le vrai partage des fruits entre les sexes, l’échange des richesses : le maître protège son esclave, la proie reçoit la considération de son chasseur, la chienne respecte son dresseur.
Bref la femme admire l’homme.
Ce dernier demeure avant tout et depuis toujours un lion plein de flammes qui cherche à foudroyer la gazelle de son glaive de chair ! Et le gibier en jupons, fébrile, n’attend que le coup fatal du bras armé sur son échine, espère sentir la poigne martiale se refermer sur sa féminité, rêve de voir le prédateur brandir l’épée qui tranchera son destin, désire se faire couvrir par la poitrine du taureau enfin, pour pouvoir s’y blottir avec amour…
Le féminisme chez moi, ça n’existe pas.
Les vérités de la Création sont immuables, universelles, admirables, c’est pourquoi cet idéal de bonheur conjugal ne changera jamais sous mon toit, Dieu merci !
Gardons nos traditions, au diable ces imbéciles, nous ont les emmerdes pas, mais qu’ils fassent gaffe, il se pourrait qu’ont leurs rappellent qui nous sommes, nous les vrais amoureux de la France… 🇨🇵🇨🇵🇨🇵