Horreur ! Des propos lesbophobes contre les joueuses poilues de rugby !

Bonjour tout le monde, c’est Marcel ! Alors aujourd’hui c’est à la France entière que je m’adresse car ça concerne un de nos sports nationaux où nos équipes ont, avant l’invasion, toujours brillé ! Attention je ne parle pas du football, sport de tapettes ! Non non, je parle du rugby, sport viril, en principe sport d’Hommes, quoi ! Mais parait qu’il y a aussi des équipes féminines, bizarre ça ! Mais c’est vrai qu’aujourd’hui avec les « genres » plus rien n’est comme avant.

Alors j’ai regardé quelques vidéos de rugby féminin, franchement on peut pas dire que les joueuses sont des canons de beauté ! La plupart pourraient figurer en bonne place dans les calendriers annuels Pirelli… ah non excusez, pas Pirelli ! Des calendriers Olida ou William Saurin. Des braves femmes j’en suis certain qui attirent le respect par leur tour de taille et diamètres de leurs bras et jambes.

Vous ne le savez peut-être pas mais le Louis est un grand sportif, il ne manque jamais un match de foot et de rugby dans son salon. Il les enregistre et se les diffuse quand il a un moment de libre, tention, pas en direct. Nous on travaille ! Et donc je suis allé discuter avec lui de ce rugby féminin. Il a été clair ! « C’est des boudins poilus qui courent vite, la rumeur dit qu’elles se tripotent dans les mélées, j’suis pas allé vérifier mais ça s’dit »

Alors justement quand un des medias soutenant le lobby LGBT69ZOBI+++ publie une enquête sur « des propos lesbophobes » dans le rugby féminin, eh bien moi Marcel Berrichon j’ai tendance à les croire. Et c’est grave, très grave, la preuve c’est que le procureur a décidé d’ouvrir une enquête sur les «propos dérangeants, homophobes et sexistes» du directeur sportif de la section féminine du Stade français. D’ailleurs les joueuses de l’équipe ont appelé à la démission de leur directeur sportif !

Ceci est une affaire très sérieuse et Médiapart, les spécialistes des reportages caniveau souvent montés avec des éléments inventés de toutes pièces, a d’ailleurs dénoncé des témoignages de déclarations particulièrement scandaleuses comme « C’est dommage que tu sois une bouffeuse de chatte comme tes coéquipières », « gouine qui veut jouer au rugby mais est incapable de jouer à un sport masculin », « elles feraient mieux de coucher avec des mecs que de se doigter entre elles ».

Le Louis qui suit de près la rédaction de mon article en tant qu’ « expert sportif » me dit d’un air dubitatif « mais j’comprends pas, pour des gouinasses ces déclarations sont un hommage à leur qualité ! Une reconnaissance de leur satut. » J’ai dû lui expliquer que souvent quand on a une possibilité de récolter du fric en mentant, certains n’hésitent pas et que la vérité journalistique s’arrête où commence l’intérêt financier. Ah c’est beau ça, Audiard aurait pas fait mieux non ?

Parceque là y’a un beau magot à prendre ! En effet dans ce genre d’affaires LGBT69ZOBI+++ les juges prennent souvent le parti des leurs.

« Des leurs ? » demande le Louis.

Boudiou il pige rien le Louis ! C’est vrai qu’à 17 heures la gnôle du goûter de 16h n’est pas encore digérée ! Enfin, le Louis… Des leurs…. Entre enc….on se soutient !

Donc on aura une proc gouinasse et 3 juges homos voire pédos, et le pauvre directeur sportif va prendre bon !

Mais enfin les amis, les faits sont particulierement graves tout de même, et nous devons exiger une sanction exemplaire à la hauteur du délit. Voire du crime ! Alors vous savez que je suis en campagne électorale, eh bien ça tombe bien car sur ce sujet j’ai bien entendu réfléchi. La lesbophobie, tout comme l’homophobie, doit être combattue sans relâche !

Je propose donc une punition exemplaire pour ce criminel directeur sportif : qu’on le jette nu dans le vestiaire de ces lesbiennes ! Ce sera une troisième mi-temps dont il se souviendra toute sa vie !

C’est pas tout ça, faut bosser !

A la revoyure !

Marcel Berrichon