Chasse au nègre dans la Creuse, la France entière est en danger !

Bonjour tout le monde, c’est Marcel ! Alors il se passe une chose horrible en France, parait qu’il y a des racistes même dans les départements les plus reculés, du moins c’est ce que dit un avocat, Maitre Boline Couillon ou Coline Bouillon je sais pas trop, je trouve que les 2 lui vont bien. Et les media toujours à la pointe de l’information sincère et véritable ont lancé une grande campagne sur ce thème !

Figurez-vous que dans le village de Royère-de-Vassivière dans la Creuse (vous connaissez ? Pas moi.) il y aurait eu une « chasse au nègre » lors d’une fête du village. On note que c’est au singulier, donc une chasse contre un nègre.

Alors malgré qu’il y avait selon l’avocat et les journalistes UNE personne « chassée » (de race noire, je précise pour les lents à comprendre…) eh bien Maître Couillon explique que « certaines victimes » en sont « traumatisées ».

Quelles victimes, on sait pas puisque personne, nègre ou pas, n’a été pendu à un arbre ni même tabassé. Mais elles sont quand-même traumatisées, c’est sûr !

Tout est très bizarre ! Selon les « révélations » (houlala !) d’ICI Creuse, sept « victimes » intentent une action en justice, dont cinq qui ont déjà déposé plainte, pour « violences en réunion avec et sans caractère raciste ». Celles-ci dénoncent « une attaque raciste », ainsi qu’une « chasse au nègre », rapporte la radio locale.

Donc c’est des violences « avec et sans caractère raciste », déjà comment ça peut être à la fois avec et sans ? Je comprends pas bien. Et ensuite ils règlent le problème en annonçant cette fois directement donc une « attaque raciste » et une « chasse au nègre ».

Et tout s’enchaine en s’aggravant : les habitants sont « sous le choc » et ont distribué des tracts sur le marché du village en soutien aux « victimes » et en s’inquiétant d’éventuelles « séquelles physiques et psychologiques ».

C’est bien la première fois que « les habitants » d’un village impriment spontanément et distribuent des tracts, mais quand on voit que l’article est diffusé par l’Humanité, on comprend un peu mieux.

La gendarmerie ajoute un peu d’huile sur le feu, eux de toute manière ne sont capables de rien de bon : elle « confirme la présence de « propos discriminatoires » bien que « personne n’était physiquement en danger lors de l’arrivée des agents ».

Donc il y avait une discussion de comptoir où les gens parlent vrai, quand on parle de quelqu’un on dit « Pierre » ou « Paul », ou « le directeur », et si on sait pas on peut dire « le noir » ou « le nègre » dans certains coins. Pas de quoi fouetter un nèg… un chat, pardon ! Mais parait que c’est discriminatoire, c’est les gendarmes qui le disent, alors…

Alors j’ai voulu en avoir le coeur net et j’ai appellé mon petit neveu Marco, vous savez, celui qui est dans la police. Il s’est renseigné et m’a tout esspliqué ! Une fête de village où on boit bien (c’est un bon village, ça !), des jeunes qui supportent mal l’alcool et qui s’échauffent, un gars qui fait des propositions obscènes à une fille, des braves gens défendent la fille et quelques baffes sont données aux copains de l’agresseur qui se mettent au milieu, l’agresseur s’enfuit courageusement au lieu de s’esscuser et les autres partent à sa recherche pour lui esspliquer qu’on n’est pas dans la jungle ici.

Ah ça me fait penser à une reflexion faite par un ami mercenaire, enfin faut dire « combattant volontaire » qui a beaucoup travaillé en Afrique, il m’avait dit « les nègres ont 2 manières de se battre : soit ils fuient, soit ils massacrent à 100 contre 1 ». Tention hein, pas la peine de me traiter de raciste, moi je fais que répéter ce que m’avait dit ce fin connaisseur !

Revenons à notre affaire gravissime ! Vous avez donc deviné qui est « le nègre » des journalistes et de Maitre Couillon. Cette avocate semble avoir besoin de clients puisque c’est elle qui fait monter la sauce : lors d’une conférence de presse ce lundi, Maître Coline Bouillon a bien insisté sur la présence de racisme dans ces agressions, précisant qu’elle poursuivra en diffamation toute personne niant cela. Elle a du toupet, cette avocate, on n’a donc pas le droit de dire ce qu’on pense ? Puis en principe elle devrait savoir que quand on accuse par exemple de racisme, il faut en apporter la preuve et ce n’est pas à ceux qui disent qu’il n’y a pas de racisme de le prouver. Je n’ose pas imaginer qu’elle ait acheté son diplôme d’avocat à Barbès ou à Bamako, bien sûr, bien sûr…

Alors qu’elle explique encore devoir s’entretenir avec des victimes « traumatisées » pour fixer le nombre exact de plaintes, l’avocate assure qu’une ou plusieurs plaintes auront pour objet « violence en réunion à caractère raciste ». Des victimes auraient d’ailleurs eu des Interruptions totales de travail (ITT), dont certaines supérieures à 10 jours.

Mon petit Marco me dit « c’est étonnant comment ces victimes prétendues ont chargé Maitre Couillon (ou Bouillon c’est pareil) de les défendre, cette avocate travaille à Vincennes c’est bien loin de la Creuse. Puis cette Couillon elle prend plein d’affaires de ce genre, elle était même dans l’affaire de la racaille Nahel ».

C’est en effet bizarre qu’un pèquenot de la Creuse qui prend une baffe prendrait un avocat à Vincennes, avocat spécialisé dans la défense des povr zimmigrés ! Alors moi j’ai tout de même mon Certificat d’études et je réfléchis, je me demande si ça serait pas un coup monté de toutes pièces par quelques voyous gauchistes. Montrer que même dans la Creuse il y a du racisme mais que la population résiste courageusement, je trouve que ça va très bien comme propagande contre le retour de la Betty Monde et le besoin d’être vigilant !

Et d’ailleurs en guise de soutien aux personnes agressées, un rassemblement a été organisé par les citoyens de la commune lundi 25 août à 17 heures, pour réaffirmer « l’urgence de réagir (…) face à des situations qui mettent en danger des habitants du territoire ».

Tout ça est excellent en fait pour faire passer l’agresseur pour une victime du racisme des jeunes du coin, bien blancs !

Les habitants du territoire moi je pense qu’ils sont en effet en danger, mais plutôt par les nègres (attention, j’emploie ce terme pour rester dans le ton de mon article, en principe faut dire « les pauvres réfugiés migrants déracinés qui n’ont pas les codes » que par ceux qui se défendent contre eux. Mais je suis peut-être raciste ? Je pense en tout cas que je vais appeller Maitre Couillon, puisqu’elle met son numéro partout en ligne (06 63 74 45 52) et lui demander son avis sur cet excellent article !

Ah, mais vous pouvez appeller aussi, puis elle est sur télégram (@CB94000) m’a dit Marco !

Allez, ne rèvez pas de nèg…. A la revoyure !

Marcel Berrichon