Bonjour tout le monde, c’est Marcel ! Alors ce soir je suis tombé sur un article intéressant, en fait il m’a été signalé par un lecteur car moi j’ai pas bien le temps de lire le ouèbe ! Mais le sujet est passionnant alors lisez la suite !
Pascal Praud:
« Il y a beaucoup de femmes qui n’ont pas eu la chance d’être regardées par les hommes et qui, de ce fait, nourrissent parfois contre eux un sentiment de revanche ».
Boudiou il dit vrai, Pascal ! Pourtant on n’est pas du même monde, lui le plouc de la ville et moi le pèquenot berrichon ! Mais on fait le même constat et j’ose même aller plus loin en disant que les « féministes » d’aujourd’hui sont toutes des laiderons mal baisés qui cherchent à se venger des mâles qui refusent de leur mettre un petit coup !
Vulgaire, le Marcel, j’entends déjà dire ! Mais non ! Réaliste, et qui parle comme au café du coin ! Venez suivre nos conversations au Bistrot du Village et vous pourrez le constater ! Parlant de ça, je vais tenir une réunion publique très prochainement et vous inviterai ici même ! Consommations obligatoires, sans eau ni lait ! On en reparlera !
Mais revenons à nos dingos ! Des exemples les plus marquants sont la grosse Garrido et la maigrichonne Sandrine Rousseau, ou encore Sophie Mazas, avocate (aie aie je sens venir le procès, vazy Sophie, fonce !). Mazas elle a un physique plus avenant que la grosse Garrido bien sûr,’ pas difficile vous me direz, mais elle se fringue comme une loubarde de banlieue, comme ses clients en fait. Garrido c’est le business, avec Corbière c’est l’amour du pognon et du « pouvoir ». La Rousseau elle a trouvé un esclave qu’elle traite de « déconstruit », on imagine les séances de fouet !
Ces 3 là, franchement pour qu’elles trouvent des mecs normaux faut un miracle. Un miracle qui n’arrive pas, et les voila donc qui se proclament féministes, c’est un désir de vengeance contre les vrais Hommes pour ces 3 refoulées ! Houla Marcel fait dans le diagnostic psy, faut dire qu’avec ces numéros c’est pas difficile !
Alors voila, Pascal Praud a bien vu, et moi le berrichon j’ai bien confirmé ! On va voir qui aura les procès !
Allez les gars, c’est pile l’heure de l’apéro ! À la santé des vrais Hommes que nous sommes…. Mais aussi des vraies Femmes que nous aimons tous ! Des Femmes j’ai dit, pas des laiderons mal baisés, non mais !
À la revoyure !
Marcel Berrichon
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Salutations Marcel. Heureux de vous retrouver pour lire vos nouvelles .
Et à la votre …😁🍷 v
Didiou ça fait du bien …
N’empêche Raquel Garrido a 3 filles et Sandrine Rousseau 3 enfants aussi !
Preuve qu’il y a des hommes qui apprécient ce genre de femmes ….
Ma foi ……
Il y a aussi des pédés qui ont des gamins !
Certes …
Avec un oreiller sur la tête tout demeure du possible
C’était pour se faire sentence 😉
Bonjour Marcel. Deux styles, deux flammes, Garrido, globe télévisuel à l’aplomb bien ancré, roule sa verve avec l’assurance d’un buffet bien garni. Rousseau, vestale de l’indignation permanente, manie l’excès comme d’autres le cure-dent : partout, tout le temps, et souvent pour rien. Mais après tout, chaque époque a les clowns qu’elle mérite. À la revoyure Marcel !
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Clairement entre l’une et l’autre faut vraiment avoir faim pour y aller !
Entre l’ex truie No1 de Mélanchouille et la fausse hétéro au physique de lesbouffe … c’est à se demander comment elles ont fait leur gosses .. ou alors c’etait en éprouvettes !
LA CÉLIBATAIRE
Son coeur est riche de sentiments romanesques, son âme avide de vertiges amoureux, son corps brûlant de désirs inassouvis. Elle rêve de princes à mâchoires carrées, de guerriers musculeux, de conquérants barbares et d’ogres majestueux.
Elle cherche un astre à la hauteur de sa flamme : un être magistral, fulgurant, marmoréen.
Une sorte de loup aux crocs stellaires, une bête de masculinité triomphante, un animal sauvage, subtil et brutal, doux et carnassier, féroce et lumineux. Un mâle tout d’un bloc qui pourrait combler ses vides femelles, élargir les limites de sa nature, déchirer les étroitesses de son esprit de femme comme de sa chair molle.
Elle aimerait tant livrer sa féminité frustrée à ce feu viril, offrir sa virginité d’esseulée à ce seigneur martial, se jeter aux pieds de ce roi dûment botté…
Mais elle n’est entourée que d’épilés, de castrés, d’efféminés, d’inversés !
Pour ces moins que rien, ces chiots frileux, ces porteurs de frisettes, ces délicats parfumés, elle n’éprouve que mépris, dégoût, colère. Ce siècle de déréglés la déçoit. Son ciel est capable de contenir le tonnerre, la tempête et la foudre, mais son époque ne lui propose que des amants édulcorés, des brindilles, des plâtres, des larves, des féministes, des loques, des fragiles !
Refusant ces serpillières elle préfère demeurer seule plutôt que de corrompre sa fleur avec ces lavasses qui se prétendent des hommes.
Consciente du trésor qu’elle incarne, elle n’acceptera de soumettre son hymen qu’à celui qui aura la force des dieux, la gloire du vainqueur, l’éclat du Soleil, l’odeur du fauve et la poigne du dominateur couillu !
En attendant, la célibataire crache à la face de ces sensibles émasculés qui n’osent même pas la regarder, et continue d’espérer pouvoir rencontrer un jour un phallocrate digne de ce nom.